100 moments culminants
EXPLOREZ 100 MOMENTS À LA PINACLE DE L'HISTOIRE DU SKI CANADIEN.
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CRAZY CANUCKS
À Kitzbühel, les Crazy Canucks sortent le Canada de l’ombre.
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La domination des Crazy Canucks à Kitzbühel a commencé en 1980. Ken Read a été le premier des Crazy Canucks et le premier homme canadien à remporter la plus célèbre course de ski du monde. Steve Podborski a suivi lorsqu’il a remporté la course en 1981, puis a répété l’exploit en 1982. En 1982, Podborski est également devenu le premier Nord-Américain à remporter le Crystale Globe, titre de la saison de la Coupe du monde, en descente.
Appelez ça un quadruple exploit! Todd Brooker a remporté la course en 1983. Sa victoire a été une surprise et a été sa première victoire en Coupe du monde.
Sachant qu’il était à une fraction de seconde des meneurs, Brooker a jeté toute la prudence au vent et « a juste pointé ses skis vers le bas de la colli-ne ». C’était la façon de faire des Canadiens.
1980 : 1re place Ken Read – Hahnenkamm
1981 : 1re place Steve Podborski – Hahnenkamm
1982 : Descente du vendredi : 2e place Steve Podborski * 3e place Ken Read
1982 : Descente du samedi : 1re place Steve Podborski * 3e place Ken Read – Hahnenkamm
1983 : Descente du vendredi : 2e place Steve Podborski
1983 : Descente du samedi : 1re place Todd Brooker * 3e place Ken Read – Hahnenkamm
**Les descentes du vendredi étaient normalement des courses de rattrapage depuis un autre lieu en raison d’une annulation.
**Descente du samedi : la course du samedi s’appelle Hahnenkamm et les ga-gnants remportent le trophée traditionnel, le « Goldener Gams ».
DEL BOSCO, SERWA, MURRAY
Les liens familiaux unissent les moyens gagnants pour Canadian Ski Cross.
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Les liens familiaux qui unissent le monde du ski canadien sont ce qui nous permet de rebondir plus facilement face aux blessures et à l’adversité. Il en va de même pour les membres de l’équipe canadienne de ski cross qui ont fait la fierté de leur famille et de tous les Canadiens lors du Championnat du monde de ski acrobatique en 2011. Julia Murray, qui a grandi en skiant sur les pentes de Whistler et qui rêvait de suivre les traces de son père, Crazy Canuck Dave Murray. Lors des championnats du monde de 2011, après sa rupture du genou la semaine précédente, Murray a remporté la médaille d’argent. Qui était sur la plus haute marche? Sa coéquipière Kelsey Serwa, qui s’était brisé le dos aux X-Games sept jours auparavant, et dont les liens familiaux avec la piste de ski canadienne sont tout aussi profonds. Le grand-père de Serwa, Cliff, est le co-fondateur de la station de ski Big White à Ke-lowna, en Colombie-Britannique.
La famille n’est pas toujours celle avec laquelle on est né; parfois, c’est celle avec laquelle on s’entoure. Pour le vétéran du ski cross et membre fondateur de l’équipe au Canada, surmonter l’adversité en étant entouré de sa famille de ski cross est une constante dans sa carrière. Grâce à ses blessures et à sa persévérance, Del Bosco a l’une des carrières de ski cross les plus déco-rées, avec notamment une médaille d’or au Championnat du monde de ski acrobatique FIS 2011, 26 podiums en Coupe du monde et cinq podiums aux X-Games. Les liens qui nous unissent sont également ce qui nous rend forts et nous permet de continuer à nous tenir au sommet du monde, tout comme Julia, Kelsey et Chris.
LANA SPREEMAN
Deux paralympiens réalisent une série de performances marquantes.
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Lana Spreeman a participé à cinq Jeux paralympiques d’hiver en ski alpin. Au cours de sa carrière, elle a remporté 13 médailles pour le Canada, faisant d’elle l’athlète paralympique d’hiver la plus décorée jusqu’à ce qu’elle soit dé-passée par le skieur de fond Brian McKeever, qui a remporté sa 14e médaille aux Jeux paralympiques d’hiver de 2018.
Elle a remporté la toute première médaille d’or en slalom géant 2A aux Jeux paralympiques d’hiver de 1980. Lors des Jeux paralympiques d’hiver de 1994 à Lillehammer, elle a été la porteuse du drapeau canadien lors des cérémo-nies de clôture.
NANCY GREENE
Le Canada vénère Nancy Greene à la suite de la descente la plus marquante de l’histoire.
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Après une médaille d’argent en 1968 aux Jeux olympiques de Grenoble, Greene était toujours insatisfaite et était une grande favorite du slalom géant, déterminée à remporter l’or olympique. Pour la distraire de ses nerfs le jour de la course, ses entraîneurs l’ont emmenée prendre un casse-croûte et discuter de la politique du ski, arrivant à la cabane de départ avec quelques minutes d’avance. Avec une précision technique, Greene a exécuté une course im-peccable, s’imposant par 2,64 secondes, avec la plus grande marge de vic-toire de l’histoire de l’épreuve. En tant que championne olympique et mon-diale, Greene a remporté toutes les courses du mois suivant dans toutes les disciplines et a remporté son deuxième titre de Coupe du monde. Elle a été accueillie par plus de 100 000 admirateurs habillés en vert à Vancouver lors-qu’elle est finalement rentrée chez elle. Greene a été nommée athlète fémi-nine canadienne du XXe siècle.
CHRIS WILLIAMSON
Grâce à un record inégalé de 100 victoires, Williamson est immortalisé comme une icône.
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Le 14 mars 2009, Williamson est devenu le premier skieur de l’histoire du Co-mité International Paralympique (CIP) à remporter 100 médailles de la Coupe du monde, en remportant une médaille d’or en slalom en Italie.
Williamson a dominé le circuit de la Coupe du monde paralympique de ski alpin, remportant 56 médailles d’or et 105 médailles au total entre 2003 et 2013. Au cours de ses 17 ans de carrière, il a remporté 14 titres individuels de Coupe du monde et 8 Globes de cristal, qui sont décernés au champion gé-néral de la saison, ce qui fait de lui le membre le plus ancien de l’équipe ca-nadienne de para-alpinisme, ainsi que le concurrent le plus décoré ayant remporté l’or, l’argent et deux médailles de bronze aux Jeux paralympiques, 13 médailles aux championnats du monde de ski alpin du CIP, huit Globes de cristal du CIP (titres dans 14 disciplines) et 105 podiums en Coupe du monde du CIP, dont 56 victoires.
LUCILE WHEELER
Une première olympique pour Wheeler.
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Lucile Wheeler est devenue la première médaillée olympique nord-américaine en descente, remportant le bronze en 1956 à Cortina d’Ampezzo, en Italie. Cette épreuve a également été classée comme le championnat du monde de 1956. Au début des années 1950, les parents de Lucile l’avaient envoyée passer plusieurs hivers à s’entraîner à Kitzbühel, en Autriche, car ils reconnaissaient le talent de leur fille. Cela a porté ses fruits puisque Wheeler a été la première et la seule skieuse alpine canadienne à gagner le Hahnen-kamm en 1957 en descente et en combiné. Wheeler a ensuite remporté deux médailles d’or aux épreuves de descente et de slalom géant des Championnats du monde de 1958 à Badgastein, en Autriche, ainsi qu’une médaille d’argent au combiné.
La performance exceptionnelle de Wheeler a entraîné une augmentation du financement public qui a permis à d’autres skieurs canadiens de concourir au niveau international. Ses réalisations ont également contribué à accroître la popularité de ce sport à l’échelle nationale et dans son Québec natal, où ce qui était autrefois une destination éloignée dans les Laurentides est devenu un domaine skiable pro-spère qui attire des centaines de milliers de skieurs chaque hiver.
KEN READ
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Ken conquiert Val-d’Isère.
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Ken Read est devenu le premier Nord-Américain à remporter une course de la Coupe du monde en descente masculine lorsqu’à tout juste 20 ans, il s’est tenu sur la plus haute marche du podium à Val-d’Isère, en France, marquant un grand coup dans la première descente d’une saison olympique. Il a été l’un des quatre Canadiens à terminer dans les dix premiers de cette course, un exploit impressionnant. Ses compatriotes Crazy Canucks, qui ont égale-ment fait partie du top 10, comprenaient Dave Irwin en 4e place, Jungle Jim Hunter en 9e et Steve Podborski en 10e.
VIVIANE FOREST
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Les débuts décisifs de Viviane marquent l’histoire.
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Viviane est la première femme canadienne à remporter des médailles d’or aux Jeux d’été et d’hiver (olympiques ou paralympiques). Ancienne cham-pionne de goalball, elle faisait ses débuts aux Jeux d’hiver en ski para-alpin sur son propre territoire. Elle a reçu le prix du meilleur début aux Jeux lors de la remise des prix sportifs paralympiques canadiens 2010 pour ses résultats remarquables lors de ses premiers Jeux paralympiques d’hiver. Viviane est devenue la première femme canadienne à remporter l’or aux Jeux paralym-piques d’été et d’hiver. Elle a terminé Vancouver 2010 avec un podium dans les cinq courses, pour un total d’une médaille d’or, trois d’argent et une de bronze. Cette malvoyante originaire de Montréal, qui est née avec une vision de quatre pour cent, a commencé par une médaille d’argent en slalom, suivie d’une médaille de bronze en slalom géant, avant de remporter sa médaille d’or historique en descente.
SERWA, PHELAN & LEMAN
Le trio canadien à l’épreuve de ski cross accumule les médailles dans le cadre d’une compétition amicale.
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La culture de la victoire en équipe pour l’équipe canadienne de ski cross n’a apparemment jamais été aussi forte qu’à deux reprises aux Jeux olympiques d’hiver de 2018 à Pyeongchang.
Lors de ses troisièmes Jeux olympiques, après avoir surmonté une blessure et une peine d’amour, Brady Leman a remporté la première médaille d’or olympique masculine du Canada après une série de succès pour les femmes canadiennes dans ce sport. Dans la foule qui encourageait Leman, ses coéquipières Kelsey Serwa et Brittany Phelan étaient présentes.
Quelques jours plus tard, Serwa a remporté l’or en menant le Canada à sa deuxième victoire consécutive en ski cross féminin, alors qu’elle partageait le podium avec la médaillée d’argent, sa coéquipière, sa compagne Dirt Squirrel et sa meilleure amie Phelan.
KERRIN LEE-GARTNER
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Contre toute attente, Lee-Garner décroche la première victoire canadienne de l’histoire.
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Elle a fait ses débuts olympiques sur le territoire national à Calgary en 1988, où Lee-Gartner a participé à cinq épreuves. Ses deux meilleurs résultats ont été la 8e place au combiné et la 15e à la descente. Quatre ans plus tard, le 15 février 1992, le jour de la descente d’Albertville 1992, les chances d’une victoire de Lee-Gartner étaient de 20-1 à Las Vegas. Elle a surmonté une ad-versité incroyable et a défié les blessures qui ont mis fin à sa carrière, mais le rêve n’est jamais mort. Lee-Gartner a skié la course de sa vie sur le parcours de Méribel et a remporté la descente olympique avec 0,06 seconde d’avance sur l’Américaine Hilary Lindh. C’est la course la plus serrée de l’histoire olym-pique, avec 18 centièmes de seconde entre la première et la cinquième place. Lee-Gartner devient la seule gagnante de la descente féminine à venir d’un pays non allemand et la seule Canadienne à remporter l’épreuve.
KATHY KREINER
Kreiner se fraie un chemin vers la médaille d’or olympique.
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Kathy Kreiner a fait la première de trois apparitions olympiques à Sapporo en 1972 avec des résultats modestes en slalom et en descente. Lors de ses deuxièmes Jeux olympiques à Innsbruck en 1976, le vendredi 13, Kathy Krei-ner, 18 ans, pleine d’assurance, savait qu’elle allait gagner malgré son manque de réussite. Kreiner a remporté la même médaille d’or olympique que Nancy Greene huit ans plus tôt à Grenoble en 1968, devenant ainsi championne olympique et du monde. Elle était devenue la plus jeune cham-pionne olympique de ski alpin de tous les temps et avait produit la seule mé-daille d’or pour le Canada à Innsbruck en 1976. À Calgary en 1988, Kreiner a porté le drapeau olympique lors de la cérémonie d’ouverture. En 1976, Krei-ner a reçu le prix Bobbie Rosenfeld en tant que meilleure athlète féminine du Canada et a été intronisée dans le Temple de la renommée des sports du Canada et le Temple de la renommée olympique du Canada; le Temple de la renommée du ski canadien en 1984 et le Temple de la renommée des sports de l’Ontario en 2002. En 2015, elle a été intronisée avec son père en tant que bâtisseur, à titre posthume, et sa sœur au Timmins Sports Hall of Fame.
ASHLEIGH MCIVOR
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McIvor se démarque de la compétition pour décrocher l’or à Vancouver.
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Ashleigh McIvor était l’un des visages de l’équipe olympique canadienne à Vancouver 2010 après avoir remporté la toute première médaille d’or olym-pique en ski cross féminin, qui faisait ses débuts aux Jeux. Ashleigh McIvor avait participé aux Jeux en tant que favorite pour les médailles grâce à son titre mondial de 2009 et aux quatre médailles de la Coupe du monde qu’elle a remportées au cours de la saison précédant les Jeux de Vancouver 2010. McIvor, qui participe à des compétitions internationales depuis 2004 et fait par-tie de l’équipe canadienne de ski cross depuis sa création en 2007, est l’une des véritables pionnières de ce sport. McIvor prend sa retraite avec 11 po-diums en Coupe du monde à son actif. Elle a déjà passé le flambeau à une nouvelle génération d’étoiles féminines du ski cross, dont sa coéquipière de longue date Kelsey Serwa, de Kelowna, en Colombie-Britannique – la cham-pionne du monde en titre – et sa collègue de Whistler Marielle Thompson – la championne de la Coupe du monde de ski cross féminin.
ÉQUIPE DE SKI CROSS DU CANADA
Le Canada est en tête des X Games.
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La domination des X Games a commencé avant même que le sport ne fasse ses débuts olympiques à Vancouver en 2010. Aleisha Cline a été la reine du ski X aux X Games, montant sur le podium six fois en sept ans avec trois mé-dailles d’or consécutives en 2001, 2002 et 2003! Stanley Hayer, qui est mainte-nant l’entraîneur en chef de l’équipe canadienne de ski cross, a remporté l’or en 2009. L’année suivante, Chris Del Bosco, David Duncan, Brady Leman ont balayé le podium des X Games. La domination se poursuit lorsque Kelsey Serwa s’est fracturé la colonne vertébrale en passant la ligne d’arrivée en 2011, en route vers la médaille d’or. L’équipe canadienne de ski cross pour-suivra sa série de podiums aux X Games jusqu’en 2016, date à laquelle Bra-dy Leman, Chris Del Bosco, Kelsey Serwa et Marielle Thompson montent tous sur le podium!
THOMAS GRANDI
De retour dans son pays d’origine, Grandi remporte l’or.
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La première victoire de Thomas Grandi à la Coupe du monde remonte à dé-cembre 2004, lorsqu’il a remporté le slalom géant à Alta Badia, en Italie, le pays où il est né. La victoire à Alta Badia a fait de Grandi le premier Cana-dien dans les 38 ans d’histoire de la Coupe du monde à remporter au slalom géant. Deux jours plus tard, il remporte sa deuxième course à Flachau, en Autriche. Grandi a également mis un terme à 30 ans de stagnation dans l’his-toire de la Coupe du monde de slalom géant au Canada en égalant la vic-toire de Kathy Kreiner en 1974 à Pfronten, en Allemagne.
ANNE HEGGTVEIT
Anne de Gatineau remporte la toute première médaille d’or canadienne.
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Anne Heggtveit, dix-sept ans, a fait ses débuts olympiques à Cortina d’Am-pezzo en 1956, après avoir appris à skier au Camp Fortune dans la région de Gatineau. Quatre ans plus tard, à Squaw Valley, Heggtveit a terminé 12e en descente et en slalom géant. À 21 ans, Anne Heggtveit, qui participait à ses deuxièmes Jeux olympiques, était la seule skieuse de la course de slalom à ne pas avoir inspecté le parcours la veille, préférant dormir. Après la première descente, Heggtveit a mené l’épreuve de slalom de 1,5 seconde et s’est re-trouvée en deuxième position après la deuxième descente, détruisant finale-ment le peloton de 3,3 secondes dans ce qui a été la plus grande marge de victoire jamais enregistrée dans l’épreuve et remportant la toute première mé-daille d’or du Canada en ski alpin. Elle est retournée dans sa ville natale d’Ot-tawa en tant que championne olympique et mondiale et ils ont organisé un défilé de bienvenue pour elle, comme ils l’avaient fait 12 ans auparavant lors-que Heggtveit, 8 ans, s’était assis sur les épaules de son père pour regarder le défilé de bienvenue de la championne olympique de patinage artistique Barbara Ann Scott.
JOSH DUECK
La destinée de Dueck repose sur son succès paralympien.
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Né à Kimberley, en Colombie-Britannique, Josh Dueck a toujours été destiné aux pistes. Six ans après qu’un accident ait légèrement modifié ses plans, il faisait ses débuts aux Jeux paralympiques de 2010 à Vancouver, où il a rem-porté une médaille d’argent en slalom assis masculin.
Aux Jeux paralympiques d’hiver de Sotchi, Dueck a servi de porte-drapeau du Canada pour la cérémonie de clôture grâce à sa médaille d’argent en descente et à sa médaille d’or en super-combiné.
En dehors des pentes, Dueck est également un membre apprécié de la communauté sportive internationale pour son travail de promotion du mouve-ment paralympique et d’inspiration des autres à trouver leur voie.
Josh a été nommé chef de mission pour les Jeux paralympiques d’hiver de 2022 à Bejing, en Chine.
LAUREN WOOLSTENCROFT
Les « Golden Girls » remportent cinq médailles d’or à Vancouver.
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Surnommée la « Golden Girl » des Jeux paralympiques d’hiver, après avoir remporté cinq médailles d’or aux Jeux paralympiques de Vancouver en 2010, Lauren était imbattable, chaque course continuant à la placer sur la plus haute marche du podium. Woolstencroft est saluée comme l’une des meil-leures skieuses alpines au monde, ayant remporté huit médailles d’or, une d’argent et une de bronze lors de trois Jeux paralympiques. Woolstencroft est devenue la première athlète paralympique canadienne d’hiver à remporter cinq médailles d’or lors d’un seul et même Jeux et a été nommée porte-drapeau du Canada pour la cérémonie de clôture. Elle était ingénieure élec-tricienne chez B.C. Hydro, membre de l’équipe qui a conçu les systèmes d’alimentation électrique pour les épreuves de montagne de Whistler. Si le nom de quelqu’un devait être en lumière, autant que ce soit le sien.
ERIK GUAY & MANUEL OSBORNE-PARADIS
Journée historique à Garmish, avec deux montées sur le podium.
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Le coureur de ski alpin canadien le plus décoré de tous les temps l’a prouvé en montant trois fois sur le podium, lors de deux championnats du monde de ski alpin, deux fois sur l’insaisissable marche du haut. Guay a remporté la des-cente des Championnats du monde de ski alpin en 2011 à Garmisch.
En 2017 à St. Moritz, en Suisse, il était de retour au sommet. Après avoir à peine échappé à une blessure grave 10 jours auparavant, Guay a triomphé vers l’or en su-per-G. Il était accompagné de son coéquipier Manuel Osborne-Paradis, qui fêtait son 33e anniversaire et qui a rempor-té le bronze.
Trois jours plus tard, Guay se retrouve à nouveau sur le podium, cette fois en descente.
THOMPSON, LEMAN, DRURY
L’équipe canadienne de ski cross domine le podium.
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La meilleure ascension sur les plus grandes scènes et en 2019, c’était la Coupe du monde de ski acrobatique de la FIS. Marielle Thompson, dont le nom est synonyme de victoire du Canada en ski cross, a remporté l’or à la Coupe du monde de ski acrobatique de la FIS en 2019, ce qui a permis au Canada de monter sur le podium pour la troisième fois consécutive aux Championnats du monde. Du côté masculin, Brady Leman, qui venait de remporter une victoire devant les amateurs canadiens lors de la Coupe du monde de ski cross Blue Mountain à Collingwood, en Ontario. La semaine suivante, il a remporté l’argent aux Championnats du monde de 2019 avec son coéquipier Kevin Drury, qui a remporté le bronze.
ROB BOYD
En 1989, la victoire de Rob Boyd à la descente de la Coupe du monde de Whistler a permis d’inscrire son nom dans les livres d’histoire de notre pays en accélérant son statut de héros local de Whistler. Grâce à cette victoire, Rob est devenu le premier skieur alpin au pays à remporter une descente de la Coupe du monde en sol canadien. La maison familiale était située à 100 mètres du fil d’arrivée, et son père Sandy était le directeur général de Whistler Mountain à l’époque, ce qui rendait sa victoire d’autant plus spéciale.
L’histoire du ski de compétition au Canada et celle du Whistler Mountain Ski Club sont étroitement liées. Le club, qui a tenu son premier événement en avril 1968, a organisé plusieurs championnats nationaux et épreuves de la Coupe du monde et, plus récemment, a participé à l’organisation des Jeux olympiques et paralympiques d’hiver de 2010.
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